Si elle est menée profondément, et qu’elle intègre réellement la stratégie, je pense que c’est des questions qui doivent non seulement émerger inévitablement, mais aussi guider la démarche de la DPEF : a quoi dois-je servir, quel est le but de mon entreprise, quel est mon impact sur la société ?...
Ainsi, dépassez l’exercice réglementaire, mettez-y du sens, de la sincérité. L’interrogation de vos parties prenantes et l’exercice de matérialité est une superbe occasion de prise de hauteur et de questionnement, c’est même souvent un beau miroir.
Alors, allez-y pleinement et surtout faite mentir cette phrase qui a tant fait rire Mathilde qui a tant contribuer à co-construire ce livre blanc : « La RSE c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale ! ». Soyez transparent, soyez ambitieux, la société, vos salariés actuels et futurs, vos clients et vos actionnaires attendent beaucoup de cette DPEF.